Tikitaka
Je vous écris ces quelques lignes de retour de la Géode. Je vous rassure derechef : si je traînais mes guêtres Porte de la Villette, ce n'était pas pour me farcir un docu-fiction en 3D sur la reproduction hermaphrodite des coquilles Saint-Jacques, mais bien pour visionner sur le célèbre écran sphérique la finale de cet Euro 2008. Je remercie d'ailleurs Elie (qui, j'en suis sûr, est un lecteur attentif et passionné de ce blog) pour le tuyau... Tout était en effet prêt pour passer une bonne soirée : un tournoi de PS3 couronné d'une splendide victoire de la France sur les Pays-Bas (avec un but de Trézéguet, s'il vous plaît), puis un buffet-cocktail en deux parties à en faire pâlir le plus fidèle des Tibéristes. Ajoutez à cela une leçon de football infligée par nos amis espagnols à une bande d'athlètes teutoniques, et vous obtenez un dimanche sympa... et gratis.
Votre Serviteur quelque peu courroussé, le soir de la réélection du roi du Vème...
Mais je n'ai pas pris ma plume -ou plutôt mon clavier- pour vous chanter les louanges des accras de morue et autres macarons à la pistache qui nous ont été servis. Parlons bref, parlons sport. Ce soir, donc, on très probablement vu la meilleure équipe de la planète remporter la Coupe d'Europe au Ernstshklaken Stadion -ou quelque chose comme ça- de Vienne. Comme toute la France du foot, de Saint Arsène à Frank LeSteak (copyright Labarthe), en passant par le footix de base, je ne puis que me féliciter de cette victoire du beau jeu, qui ne fait qu'accentuer ma déception quant aux prestations des Bleus, dont les qualités techniques ont été allègrement gaspillées par Raymond Domenech. Hélas, dans ce milieu, il semble que les personnalités les plus intéressantes et sympathiques -oui, sympathiques- soient aussi les plus incompétentes. Et comme toujours, c'est le Paris Saint-Germain qui remporte la Palme d'Or avec Paul Le Guen, qui allie nullité tactique et fadeur individuelle.
Tiens, puisque l'on en parle, disséquons ensemble l'actualité du club de la Capitale !
.
Voilà, c'est fait. Il faut dire que ce soir, il y avait plus intéressant que le PSG. Il y avait l'Espagne. Et tous s'en félicitent, du vendeur de tapas jusqu'au groupe d'Autrichiens peinturlurés de jaune et de rouge que j'ai croisés dans le métro. Mais gare aux réveils difficiles ! Quand Villeneuve nous annoncera sa profonde volonté de faire venir Iniesta à Paname, nous ne pourrons que rire jaune... et rouge.
Votre Serviteur quelque peu courroussé, le soir de la réélection du roi du Vème...
Mais je n'ai pas pris ma plume -ou plutôt mon clavier- pour vous chanter les louanges des accras de morue et autres macarons à la pistache qui nous ont été servis. Parlons bref, parlons sport. Ce soir, donc, on très probablement vu la meilleure équipe de la planète remporter la Coupe d'Europe au Ernstshklaken Stadion -ou quelque chose comme ça- de Vienne. Comme toute la France du foot, de Saint Arsène à Frank LeSteak (copyright Labarthe), en passant par le footix de base, je ne puis que me féliciter de cette victoire du beau jeu, qui ne fait qu'accentuer ma déception quant aux prestations des Bleus, dont les qualités techniques ont été allègrement gaspillées par Raymond Domenech. Hélas, dans ce milieu, il semble que les personnalités les plus intéressantes et sympathiques -oui, sympathiques- soient aussi les plus incompétentes. Et comme toujours, c'est le Paris Saint-Germain qui remporte la Palme d'Or avec Paul Le Guen, qui allie nullité tactique et fadeur individuelle.
Tiens, puisque l'on en parle, disséquons ensemble l'actualité du club de la Capitale !
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Voilà, c'est fait. Il faut dire que ce soir, il y avait plus intéressant que le PSG. Il y avait l'Espagne. Et tous s'en félicitent, du vendeur de tapas jusqu'au groupe d'Autrichiens peinturlurés de jaune et de rouge que j'ai croisés dans le métro. Mais gare aux réveils difficiles ! Quand Villeneuve nous annoncera sa profonde volonté de faire venir Iniesta à Paname, nous ne pourrons que rire jaune... et rouge.